Il y a bien plus à jouer que du plaisir.
Dès le plus jeune âge, il est possible de connaître le bonheur sous sa forme presque parfaite. Chaque nouvelle vue, son, goût et toucher que nous expérimentons nous rend plus curieux de notre environnement. Cette curiosité nous pousse à continuer à explorer.
En tant qu’enfants, nous considérons la vie comme intacte et pleine de possibilités. Nous jouons sans hésitation, découvrons de nouvelles choses que nous aimons et passons autant de temps que possible à les faire. Nous imaginons de nouveaux mondes dans notre esprit et à partir de ces interactions, nous commençons à développer une perception du monde. « Jouer » devient notre langage universel.
À mesure que nous vieillissons, il devient plus difficile de trouver le temps de jouer. Notre esprit passe du loisir à la responsabilité et nous perdons de vue ce qui nous fait du bien. Le fait est que jouer, ce n’est pas seulement s’amuser. Lorsque nous le faisons, notre corps libère des endorphines, ce qui stimule la créativité, améliore la fonctionnalité et nous rend généralement plus heureux. Nos meilleurs moments surviennent lorsque nous lâchons prise et laissons le monde nous surprendre. Lorsque nous commençons à profiter des choses en dehors de nous-mêmes, nous nous retrouvons au meilleur de nous-mêmes.
Alors, à quoi ressemble le jeu et comment trouvons-nous le temps de le faire en tant qu’adulte ?